"Julien Gracq" : beau, (trop) beau nom
d'écrivain, choisi par celui que l'état-civil ne connaissait que sous le
patronyme de "Poirier" (Louis Poirier), difficile à porter, dira-t-on, pour
un auteur ? Sans doute, sauf qu'au vu, d'une part, du galbe émouvant du fruit que voilà, et de certain aspect compassé, d'autre part, de l'écriture gracquienne,
on se prendra à regretter l'abandon du patronyme de l'arbre qui, si notre auteur se
l'était gardé, eût peut-être produit des fruits qui même moins distingués
que les produits vendus sous cellophane ou emballage papier bible du verger gracquien, n'en seraient que plus
goûteux, plus juteux, pouvant laisser croire qu'au jardin d'Eden jamais l'arbre désirable et prohibé ne produisit la pomme, mais ce "long fruit d'or" qu'un Victor Hugo aura préféré appeler, sans périphrase, poire.
*****************
Des seins
... en pomme ?
... en poire ?
... en pire ?
C'est possible avec P.I.P !!!
*****************
Des seins
... en pomme ?
... en poire ?
... en pire ?
C'est possible avec P.I.P !!!