Si c'était un tas de briques, et si le type en costard s'appelait Bruce Lee, d'un seul geste il l'aurait déjà FRACcassé.
(explication de textes : vu sur la page Facebook de Nicole Esterolle*, inlassable et implacable pourfendeur (car c'est le pseudo d'un homme) de la forfaiture qui a nom "art contemporain". Cette oeuvre, car c'en est une, est un tas de serviettes usagées, ici présentées dans un FRAC (Fond Régional d'Art Contemporain) à Audrey Azoulay, ministre de la Culture)
* son indispensable site :http://www.schtroumpf-emergent.com/blog/?p=1217
Voir par exemple les incroyables photos de sa collection de TAS, et prendre conscience que les artistes auteurs de ces oeuvres sont bien souvent subventionnés par le contribuable. Tout ce courant de l'auto-proclamé "art contemporain", qui est au Beau ce que Daech est à la civilisation, procède du clown princeps : Marcel Duchamp (1887-1968), qui avec son urinoir, baptisé "Fountain", ou son porte-bouteilles, n'est même pas à l'art ce que le champomy est au champagne.
lundi 20 février 2017
FRAC ET FRACAS
Libellés :
"Art-Contemporain"
Jacques Géraud est (s'efforce d'être) écrivain. Après des études austères (hypokhâgne, khâgne, bagne, ENS de Saint-Cloud, agrégation de lettres modernes), il a jusqu'à sa retraite enseigné en lycée dans la banlieue parisienne. Il vit à Lyon. Il a publié une dizaine de livres atypiques chez P.O.L, aux PUF, chez JBZ/Hugo&Cie, à l'Arbre Vengeur, aux éditions Champ Vallon.Conférencier des Alliances Françaises en 2009 aux États-Unis et au Canada. Il a été chroniqueur sur le Huffington Post (Culture), et sur ventscontraires.net (revue collaborative du Théâtre du Rond-Point) .